Avant d’accueillir deux chevaux chez nous, nous avions pas mal vadrouillé avec nos ânesses Gribouille, Paulette et Polka, et Popette, comme en témoigne la page Voyages de ce site – et encore, toutes les aventures n’y sont pas!

Puis, presque 10 ans après notre périple en Islande (www.islande-a-cheval.ch), nous avions envie de renouer avec les chevaux islandais. Nous avons donc placé nos ânes au fur et à mesure auprès de bonnes familles. Paulette et sa fille Polka ont trouvé une nouvelle famille dans le Jura en 2013. Popette a retrouvé une vie de troupeau en 2014 auprès d’Isabelle Baudet, de l’association Les ânes éMoi. Quant à Gribouille, elle nous a quitté en automne 2015, à notre plus bonheur et celui de Pierre et Frédérique.

Nous avons ensuite eu pendant 4 ans Toundra et Viking, deux petits amours qui faisaient partie de notre famille, mais qui sont décédés en octobre 2018 d’un accident en montagne. Toundra était très calme et curieuse, mais aussi une sacré coquine. Elle était une pro du voyage, et passait partout en premier sans avoir peur de rien. Viking était un magnifique hongre alezan aux crins lavés qui ressemblait à un lion en pleine action. Très sensible, il pouvait vite devenir inquiet et voyait souvent des trolls dans les rochers. C’était un grand bavard, qui ne ratait jamais une occasion pour se faire remarquer. Ces deux là vont nous manquer, et c’est à leur mémoire que je laisse encore quelque temps leur photo sur cette page.

En novembre 2018, nous accueillons une nouvelle recrue, islandaise elle aussi. Ro, dite « Ross ». Et, sa copine Kára (se prononce « Kaora ») est venue la rejoindre à Pâques en 2019. Nous avons appris à nous connaître et travailler ensemble est un véritable bonheur.

Ross
Ro dite Ross, notre jument islandaise avec un très grand coeur. Elle est maman depuis le 1er août 2022 d’une petite pouliche Meydís.
Kára, une jolie jument très attachante

Nous essayons d’avoir une relation saine avec nos animaux, c’est pourquoi nous randonnons souvent à pied avec eux – c’est à pied, lors de séjours en itinérance, que la vraie complicité peut s’installer. Ils ne sont pas ferrés.